Stage MENA 4 : Marseille – 22-27 Novembre 2021
Dans le cadre de son projet de soutien aux défenseurs des droits humains dans la région Afrique du Nord-Moyen -Orient, le REF, les Instants Vidéo Numériques et Poétiques et la Ligue de l’enseignement des Bouches-du-Rhône organisent du 22 au 27 novembre 2021 à Marseille, un stage à destination de jeunes engagés dans les sociétés civiles de leur pays (Algérie, Maroc, Tunisie, Liban, Egypte, Liban, Palestine, Yémen, Irak).
Il s’agit d’un temps de rencontre avec des acteurs de la société civile française. 6 jours de travail seront consacrés à la visite et l’échange avec des acteurs associatifs à Marseille, des institutions, des temps de réflexion sur le changement social, un débat public, une visite culturelle.
Il s’agira également d’élaborer de manière conjointe, une déclaration de plaidoyer, qui devra mettre en évidence les liens entre la situation des droits de l’Homme dans la région MENA et en Europe. Cet exercice reposera sur les interactions entre les stagiaires et les acteurs de la société civile française. La déclaration sera adressée aux autorités publiques nationales françaises et internationales concernées dans la région euro-méditerranéenne (Parlement européen ; Parlement français ; acteurs potentiels des Nations Unies). Elle sera également partagée en ligne via les sites web des différents partenaires.
Objectifs
- Echanger des bonnes pratiques associatives entre des acteurs de la région MENA et des acteurs français ;
- Découvrir d’autres moyens d’exercer leur citoyenneté et d’être moteur du changement social ;
- Sensibiliser le grand public sur les défis rencontrés par la société civile autour de la Méditerranée ;
- Accompagner l’émergence d’une parole commune sur les enjeux partagés, aspirations et revendications des défenseurs des droits humains de la région, dont la finalité sera le plaidoyer auprès des autorités françaises et internationales
Ce stage est financé par le Fonds de Nations Unies pour la Démocratie (FNUD). Il est mis en place avec le soutien du Cairo Institute for Human Rights Studies et Amnesty International.